Association de solidarité internationale, Charleval-Andelle-Massili s'investit depuis octobre 1997 dans le développement économique, sanitaire et scolaire du petit village rural du Burkina faso, du nom de Kinsi.
Nous sommes bien arrivés avec un vol en retard au départ d’une heure & une arrivée à Ouagadougou avec ¾ d’heure d’avance, l’escale à Casablanca de 1h 30, s’est réduite à 5 minutes.
Une demi-heure pour passer la police des frontières avec un contrôle poussé du passeport biométrique, photo, empreintes puis contrôle des bagages & des tickets d’enlèvement des bagages.
Nous avons pu remarquer le sérieux de ces fonctionnaires.
Après avoir poussé le taxi pour le faire démarrer, nous avons rejoint la chambre d’hôte.
Après un bref repos, direction l’ambassade de France surveillée de près par l’armée Burkinabé (la guerre au Mali doit y être pour quelque chose) pour nous faire reconnaitre & un petit tour au distributeur pour prendre de l’argent.
Puis un repas bien mérité dans un restaurant ombragé : La forêt
Le début de la mission commence. Le premier coup de téléphone portable pour l’agronome qui me donne rendez-vous le lendemain à 11h .Le premier appel pour l’association voûte nubienne, le numéro n’est plus attribué, deuxième appel « je ne fais plus partie de l’association » enfin une troisième personne qui me dit qu’elle me rappelle.
Nous quittons le restaurant pour faire quelques courses et faire visiter Ouagadougou à Sylvaine & Michèle qui m’accompagnent pour la première fois au Burkina Faso.
Nous rentrons à la chambre d’hôte après avoir fait un petit détour chez Alain afin qu’il nous réserve un 4 X 4 pour aller au village.
Enfin arrivés
RépondreSupprimerNous sommes bien arrivés avec un vol en retard au départ d’une heure & une arrivée à Ouagadougou avec ¾ d’heure d’avance, l’escale à Casablanca de 1h 30, s’est réduite à 5 minutes.
Une demi-heure pour passer la police des frontières avec un contrôle poussé du passeport biométrique, photo, empreintes puis contrôle des bagages & des tickets d’enlèvement des bagages.
Nous avons pu remarquer le sérieux de ces fonctionnaires.
Après avoir poussé le taxi pour le faire démarrer, nous avons rejoint la chambre d’hôte.
Après un bref repos, direction l’ambassade de France surveillée de près par l’armée Burkinabé (la guerre au Mali doit y être pour quelque chose) pour nous faire reconnaitre & un petit tour au distributeur pour prendre de l’argent.
Puis un repas bien mérité dans un restaurant ombragé : La forêt
Le début de la mission commence. Le premier coup de téléphone portable pour l’agronome qui me donne rendez-vous le lendemain à 11h .Le premier appel pour l’association voûte nubienne, le numéro n’est plus attribué, deuxième appel « je ne fais plus partie de l’association » enfin une troisième personne qui me dit qu’elle me rappelle.
Nous quittons le restaurant pour faire quelques courses et faire visiter Ouagadougou à Sylvaine & Michèle qui m’accompagnent pour la première fois au Burkina Faso.
Nous rentrons à la chambre d’hôte après avoir fait un petit détour chez Alain afin qu’il nous réserve un 4 X 4 pour aller au village.